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Zussammenfassung einer Lektüre: Korrektur
Status: (Frage) beantwortet Status 
Datum: 10:57 Sa 04.04.2009
Autor: patrick_grub

danke;)
        
Bezug
Zussammenfassung einer Lektüre: Einleitungssatz
Status: (Mitteilung) Reaktion unnötig Status 
Datum: 20:10 Sa 04.04.2009
Autor: espritgirl

Hallo patrick_grub, [willkommenvh]!


Deine Zusammenfassung kann ich leider nicht korrigieren, da ich seit langer Zeit (gut, sind nur zwei Jahre *gg*) kein Franze mehr in der Schule hatte.

Aber: dir fehlt der Einleitungssatz! Der muss noch rein.



Liebe Grüße

Sarah :-)

Bezug
        
Bezug
Zussammenfassung einer Lektüre: Antwort
Status: (Antwort) fertig Status 
Datum: 11:49 So 05.04.2009
Autor: Profdefrance

Hallo Patrick_grub,


Esprit girl hat recht. Schreibe noch den Einleitungsatz zu meiner Korrektur.

L’histoire se passe en France, dans un petit village qui s’appelle Besançon.
C´est le mois de Septembre 1947( ???bitte das Jahr prüfen) et les allemands quittaient alors le pays et Paris était libéré depuis trois semaines.
Pour François, l’école aurait commencer le lendemain, mais il est couché au lit avec un mal á la gorge.
Le lendemain soir, François a 40°C de fièvre et il vormit.
Son père René  appelle le docteur Waquier mais il ne peut pas dire un diagnostic.
Le lendemain le Docteur Waquier  vient encore une fois et il examine longtemps François. Son diagnostic est la  méningite mais il n’est pas sûr.
Les parents de François s’inquiètent (bitte konjugieren).
Quand le docteur part , René entend à la Radio que les mèdecins américains expérimentent à Paris un nouveau medicament contre des maladies comme la tuberculose ou la méningite. (Ein Satz braucht immer ein Verb)C´était la pénicilline.
René prend sa bicyclette et il pédale au quartier général des Alliés à Besançon.
Là il parle avec un officier sur la pénicilline,mais il ne peut pas aider après une conversation téléphonique.
Le problème est, qu’il n’y a pas beaucoup de penicilline en France en ce moment.
Il décide d’aller  à Paris, parce que l’officier lui a dit, que la penicilline est là.
Il va avec sa bicyclette à la gare, mais il est en retard  et le prochain train part seulement à trois heures.
Déprimé, René sort de la gare. Etant (part. présent) supris il rencontre Doctor Waquier devant la gare, qui lui offre de le conduire à Paris, mais il ne peut pas lui promettre d’arriver là ce soir(besser = d´y arriver ce soir).
Peu après ils roulent dans la direction de Paris, mais à Dijon le docteur s’inquiète de l’essence.
Ils s’arrêtent dans une station à essence qui est  vide depuis un jour.
Heureusement le propriétaire du (de+le) poste d’essence a encore trois litres d’essence dans un bidon.
Avec ces trois litres ils continuent leur trajet et ils espèrent trouver plus d’essence à Avallon.
Mais plus loin, il y a un autre problème: la route est bloquée et ils sont forcés de faire un détour (weg=changer la route).
Maintenant ils pensent que tout est bien, mais tout à coup ils n’ont plus d’essence.
est en pleine nuit, mais heureusement ils voient une petite maison à cinq-cent (500) mètres devant eux.
Ils frappent à la porte, entrent dans la maison et trouvent une vielle dame qui s’appelle Amélie.
Les deux lui  demandent pour un téléphone, mais elle n’en a aucun.
Puis ils expliquent leur problème avec l’essence à la femme.
Mais Amélie leur raconte une histoire de son mari qui a été (passé composé) tué par les Alliés parce qu’il a collaboré avec les Allemands.
Elle a une grande peur que les Alliés reviennent encore une fois pour la tuer.
Réne calme la femme et il lui propose de sauver une vie aujourd’hui, la vie de François.
Cela touche Amélie et elle guide Réne et le docteur dans un cellier où il y’a deux grands bidons d’essence. Ils prennent les bidons et Amélie leur explique la route de Paris.
Après ils remercient Amélie pour l’essence et il se mettent en route.
Cent cinquante kilomètres avant Paris ils arrivent dans un contrôle de traffic où ils doivent montrer leurs papiers.
René n’a pas ses papiers, mais quand le docteur raconte l’histoire de Francois au (à+le) policier, ils peuvent passer le contrôle.
À deux heures du matin, ils arrivent devant l’hôpital, leur but.
Toute de suite ils vont au laboratoire, où ils trouvent une médecin qui s’appelle Miss Thompson.
Ils demandent de la pénicilline, mais Miss Thompson ne peut pas la donner, parce qu’ils ont seulement quelques grammes et c’est un médicament expérimental.
Puis docteur Waquier explique l´état médical de François.
Après une courte hésitation, elle lui donne un petit flacon de pénicilline.
Miss Thompson souhaite un rappel et les deux quittent l’hôpital rapidement.
Ils se mettent en route à Besancon et René dort pendant le voyage.
Le docteur apporte René et la pénicilline à la maison.
Il va vite à la chambre de François pour lui faire la piqûre.
Deux jours après, François sort du coma. Le troisième jour la température baisse et le quatrième jour le docteur Waquier dit, que la méningite est stopée(guérie = geheilt).
Tout de suite, René informe Miss Thompson de l´heureuse nouvelle.
Maintenant la guerre contre la maladie est gagnée aussi.

Die Erzählung ist gut verständlich. Schaue bitte einmal nach der Regel mit lui, à lui.
Viel Erfolg
Profdefrance


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